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AVERTISSEMENT

Amis lecteurs
Je ne fais ce Blog que pour vous faire decouvrir les tresors du Judaisme
Aussi malgre le soin que j'apporte pour mettre le nom de l'auteur et la reference des illustrations sur tous ces textes , il se pourrait que ce soit insuffisant
Je prie donc les auteurs de me le faire savoir et le cas echeant j'enleverais immediatement tous leurs textes
Mon but etant de les faire connaitre uniquement pour la gloire de leurs Auteurs

Adam Kadmon









Adam Kadmon















Une figure humaine du divin

Adam kadmon, l’homme primordial
Représentation issue des spéculations mystiques
juives les plus anciennes, l’Adam kadmon est une
immense forme d’apparence humaine composée
par les hypostases émanées du divin, les sefirot.
Elle correspond à l’interprétation mystique par la
cabale de l’imago dei − la création de l’homme à la
ressemblance de Dieu.

Une forme symbolique et anthropomorphique
L’Adam kadmon est un terme cabalistique issu du symbolisme du Zohar, exprimant la conception anthropomorphique du royaume divin. Les hypostases émanées du divin, les sefirot, sont décrites symboliquement comme composant une immense forme d’apparence humaine : les trois supérieures, Keter (Couronne), Hokhmah (Sagesse) et Binah (Intelligence) correspondent à la tête ; Hessed (Bonté) à la main droite, Din (Jugement) à la main gauche, Tiferet (Splendeur) est le corps ou le coeur, Netsah (Eternité) la jambe droite, Hod (Majesté) la gauche et Yessod (Fondement) l’organe mâle. L’élément féminin dans le royaume divin, Malkhout (Royauté) ou Chekhinah (Présence divine), est décrite comme un corps féminin parallèle.

Une image du divin
Le concept d’Adam kadmon correspond à l’interprétation mystique par la cabale de l’imago dei − la création de l’homme à la ressemblance de Dieu (Genèse, 1, 26). La figure elle-même fut initialement présentée dans un ouvrage mystique juif du texte ancien du Chiour komah qui appartient à la mystique des Hekhalot et de la Merkavah ; les membres du Créateur y sont décrits, leurs noms enregistrés, et leurs mesures sont gigantesques.
Ce symbolisme mystique est fondé sur l’interprétation anthropomorphique des versets du Cantique des cantiques 5, 10-16, où le « bien-aimé » est compris comme étant Dieu luimême.
La cabale médiévale utilisa massivement le symbolisme du Chiour Komah, qui a dû s’enraciner dans les spéculations mystiques juives de la période du Second Temple.
Différents cabalistes du Moyen Âge et des temps pré-modernes ont utilisé ce symbole de différentes manières ; certains soulignèrent son sens mythico-anthropomorphique et d’autres réduisirent son impact mythique, l’appliquant aux royaumes cachés au sein de la divinité.akadem

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Il serait bon de ne point oublier que l'Adam Qadmon est le premier partsouf de l'En Sof, le Sans fin s'étant réduit via l'écart différentiel ...

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